lundi 9 octobre 2023

Martial Livre I

Leon Goretzka - Bayern
Victoire !

M. Valerius Martialis Épigrammes, Livres I  - Choix

 

XXII - Petit bras.

Quid nunc saeva fugis placidi lepus ora leonis ?

Frangere tam parvas non didicere feras. Servantur magnis isti cervicibus ungues Nec gaudet tenui sanguine tanta sitis. Praeda canum lepus est, vastos non implet hiatus.
Non timeat Dacus Caesaris arma puer.

Pourquoi fuis-tu maintenant, le Lièvre, la terrible gueule d'un lion passif ? 

Il n'est pas connu pour croquer d'aussi petites bêtes. Ses griffes s´attaquent à de fortes nuques ; une telle faim ne peut se satisfaire de si peu de sang.  Le jeune lièvre, c´est pour les chiens courants ; la chétive proie ne remplit pas une telle béance.
Et le petit  Dace n´a rien à craindre du féroce appétit de César. 


XXIII - Bons morceaux.

Invitas nullum nisi cum quo, Cotta, lavaris

Et dant convivam balnea sola tibi. Mirabar, quare numquam me, Cotta, vocasses: Iam scio, me nudum displicuisse tibi.

Nul ne dîne chez toi, Cotta, qui ne se soit auparavant baigné en ta compagnie.

Tous tes invités passent d´abord par l´étuve. Je me demandais aussi pourquoi tu ne m´avais jamais invité. Maintenant, je sais : tu m´as vu à poil.

 

XXIV - Identité versatile.

Aspicis incomptis illum, Deciane, capillis,

Cuius et ipse times triste supercilium, Qui loquitur Curios adsertoresque Camillos? Nolito fronti credere: nupsit heri.

Regarde, Decianus, ce  mal peigné :

Tu crains le froncement sévère de ses gros sourcils. Il parle tout le temps des Curius et des Camille, — les Libérateurs de la Patrie.  Ne te laisse pas abuser par son austérité !  Hier soir encore, il faisait la femme.


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XXII        Dilaté comme jamais…. / Der Kleine braucht den Großen nicht zu fürchten : Löwe und Hase III

WHY fliest thou, hare, the lion's jaws unstirred

to rage ? They have not learned to crunch beasts so small. Those talons are kept for mighty necks ; thirst so great delights not in a draught of blood so meagre. The hare is the prey of dogs, it fills not vasty mouths ; a Dacian boy would not dread Caesar's arms. [1]

Was fliehst du, Hase, jetzt vor dem grimmigen Maul des friedlichen Löwen?

So kleine Tiere tot zu beißen hat es nicht gelernt. Vorgesehen sind diese Krallen für kräftige Nacken, solch gewaltiger Durst hat keine Freude an spärlichem Blut. Beute von Hunden ist der Hase, einen riesigen Rachen füllt er nicht aus : Ein dakisches Kind braucht sich nicht vor Caesars Waffen zu fürchten. [2]

 

XXIII       The Naked Before / Eingeladen wird nur, wer ihm beim Baden gefällt.

You invite no man to dinner, Cotta, but your

bath-companion ; the baths alone provide you with a guest. I was wondering why you had never asked me; now I understand that when naked I displeased you. [1]

Du lädst nur jemanden ein, mit dem du badest, Cotta,

und nur die Thermen liefern dir einen Gast. Ich wunderte mich, Cotta, warum du mich niemals zu dir gebeten hattest: Jetzt weiß ich’s: Nackt hab’ ich dir nicht gefallen. [2]


XXIV      
Transgender / Schein und Sein

You see that fellow with unkempt hair, Decianus,

whose gloomy scowl you too fear, who prates of the Curii, and of the Camilli, champions of liberty ? Don't credit his appearance ; he was a bride yesterday. [1]

Siehst du den dort mit den ungekämmten Haaren, Decianus,

dessen finsteren Blick sogar du fürchtest, der nur von den Curiern spricht und den Camillern, den Freiheitshelden? Trau nicht seiner Fassade: Gestern heiratete er einen Mann. [3]


31. (Gilbert) — SUR ENCOLPE, MIGNON DE PUDENS.

Encolpe, les amours du centurion son maître, te voue, ô Phébus! sa chevelure entière : lorsque Pudens aura obtenu le grade de primipilaire qui lui est si bien dû, coupe aussitôt, Phébus, ces longs cheveux, tandis qu'aucun duvet ne couvre encore le tendre visage d'Encolpe, et que ses cheveux flottants jouent avec grâce autour de son cou d'ivoire ; et, afin que tes faveurs soient longtemps assurées au maître et à l'esclave, fais que celui-ci soit bientôt tondu, mais qu'il ne devienne homme que le plus tard possible. - 32 — trad. Nisard, Didot, 1865.

 LXXVII Toute honte bue.

Pulchre valet Charinus, et tamen pallet.

Parce bibit Charinus, et tamen pallet.
Bene concoquit Charinus, et tamen pallet.
Sole utitur Charinus, et tamen pallet.
Tingit cutem Charinus, et tamen pallet.
Cunnum Charinus lingit, et tamen pallet.

Charinus se porte bien et pourtant il est tout pâle. 

Il boit peu, et pourtant il est tout pâle. 
Charinus digère bien et pourtant il est tout pâle. 
Charinus s´étend au soleil et pourtant il est blanc comme un cachet d´Aspirine. 
Charinus se met du fond de teint et pourtant il est tout pâle.
 
Charinus lèche des moules et n´en rougit guère.


XCIV Mireille M.

Cantasti male, dum fututa es, Aegle.

Iam cantas bene; basianda non es.

Tu chantais mal, Aeglé, quand tu te faisais baiser. 

Maintenant que tu chantes bien, tu n'es plus baisable ! [4]


XCVI
  Tartuffe

Si non molestum est teque non piget, scazon,

Nostro rogamus pauca verba Materno Dicas in aurem sic ut audiat solus. Amator ille tristium lacernarum Et baeticatus atque leucophaeatus,         Qui coccinatos non putat viros esse Amethystinasque mulierum vocat vestes, Nativa laudet, habeat et licet semper Fuscos colores, galbinos habet mores.

Rogabit, unde suspicer virum mollem.         Una lavamur: aspicit nihil sursum, Sed spectat oculis devorantibus draucos Nec otiosis mentulas videt labris. Quaeris quis hic sit? Excidit mihi nomen.

Poème, mon ami, si cela ne te froisse pas, — si tu n´y vois pas d´inconvénient,

nous allons dire quelques gentillesses à l'oreille de notre cher Maternus, en toute discrétion : « Tu sais, Cet amoureux de pisseux hoquetons, toujours enveloppé de laine bétique ou drapé de blanc ; qui considère que ceux qui portent  du rouge vif ne sont pas des mecs ; qui pense que le violet, c´est joli, mais pour les femmes ; qui fait l´éloge des couleurs d´origine, et porte uniquement du brun ou du gris : il a des mœurs arc-en-ciel. »

Maternus demandera alors : Pourquoi un inverti ? — Eh bien : On se baigne avec les autres. Cet individu, je t´assure, ne regarde pas la mine ouverte des baigneurs ; son regard hardi se porte en bas, et sur les gars virils, et l´eau lui vient à la bouche.  Tu me demandes de qui je parle ?  Flûte ! J´ai oublié son nom.


Livre II

XLIX Télésina

Uxorem nolo Telesinam ducere : quare?

Moecha est. Sed pueris dat Telesina. Volo.

Je ne veux point épouser Télésina. — Pourquoi?

— C'est, dit-on, une libertine. — Mais elle se paye les petits larbins. — Bon, alors ça va !


L Contre Lesbie

Quod fellas et aquam potas, nil, Lesbia, peccas.

Qua tibi parte opus est, Lesbia, sumis aquam.

Tu suces, et bois de l'eau, Lesbie ; c'est fort bien.

Tu nettoies là où il faut.


LI Contre Hyllus

Ūnus saepe tibī tōtā dēnārius arcā

cum sit et hic cūlō trītior, Hylle, tuō,
nōn tamen hunc pistor, nōn auferet hunc tibi cōpō,
sed sī quis nimiō pēne superbus erit.
īnfēlīx venter spectat convīia cūlī,
      et semper miser hic ēsurit, ille vorat.

Quoique souvent il ne te reste,

pour toute finance, qu'un denier dans ta tirelire,
et que ce petit denier, Hyllus, soit plus usé que ton anus,
ce ne sera pas pourtant la boulangère qui l´aura, ni le bistrot.
La thune sera pour le drauque qui peut fièrement exhiber un morceau XXL.
Ton ventre contemple à regret les festins de ton cul ;
Le pauvre ! il meurt de faim, tandis que l'autre goulu engloutit.


LXXXIX Aucun précédent connu.

Quod nimio gaudes noctem producere vino,

Ignosco: vitium, Gaure, Catonis habes.
Carmina quod scribis Musis et Apolline nullo,
Laudari debes: hoc Ciceronis habes:
Quod vomis,
Antoni: quod luxuriaris, Apici.  
Quod fellas, vitium dic mihi cuius habes?

Que tu prennes ton pied à picoler tard dans la nuit,

Ça passe : tu as le vice de Caton.
Que tu écrives des élégies sans le secours d´Apollon ni des Muses,
C´est bien. Tu as ça en commun avec
Cicéron.
Que tu dégueules au dessert, Tu fais tout simplement comme
Antoine.
Que tu baffres comme un porc, Tu suis l´exemple d´
Apicius.
Mais, que tu suces, Gaurus, — je ne vois pas. De qui tiens-tu donc cette marotte ?

Notes
1- © trad. Walther C. A. Ker, Loeb, 1919.
2- © trad. Barié et Schindler, Tusculum, 2013.
3- © trad. Niklas Holzberg, Reclam, 2018.
4- © trad. Remacle.

Références
­ ↑ Encyclopédie_universelle.fr-academic
Martial épigramme
­ ↑ Universal Lexikon
Martial
­ ↑ Martial, Épigrammes.
Tome I : Livre des spectacles. Livres I – V. Trad. Sophie Malick-Prunier, Collection Budé, 2021.
­Ausgaben:

Martial, Epigrammaton libri,  [Ed. Gilbert] Leipzig : Teubner , 1886.
↑ Epigrammaton libri, herausgegeben von L. Friedländer, 2 Bände (1886, Nachdruck 1967);
↑ Epigramme, übersetzt von R. Helm (1957); Epigrammata, herausgegeben von W. Heraeus (u. a. 31982);
↑ Epigrammata, herausgegeben von W. M. Lindsay (Neuausgabe 1985).
­↑ Niklas Holzberg, Martial. Heidelberg, Carl Winter, 1988.

Martial,  Jean Malaplate (Traducteur) 252 pages Gallimard 1992.
M. DETIENNE, Les jardins d'Adonis, Paris, 1989 [1972].
M. DUBUISSON, Lasciva Venus, Petit guide de l'amour latin, Mons, 2000.
F. DUPONT, T. ÉLOI, Les Jeux de Priape. Anthologie d'épigrammes érotiques, Paris, 1994.
Florence DUPONT, Thierry ÉLOI, L'érotisme masculin dans la Rome antique, 2001.

 <> 09/01/2024

crédulité

Crédulité Élucubrations occultes

Extrait des Souvenirs du Baron de Gleichen.

Miroir magique

Le duc de Nivernois m'a assuré avoir vu un écrit du temps de Catherine de Médicis, qui donnait le détail de ce qu'elle disait avoir vu dans un miroir magique, dans lequel un célèbre astrologue, dont j'ai oublié le nom, lui montrait la succession et le sort des rois de France.

Ceux qui ont été assassinés, comme Henri III et Henri IV, ont paru percés des poignards qui les ont frappés; les autres rois, quoique pas nommés, étaient reconnaissables, ou par quelques marques, ou par un dauphin intermédiaire qui apparaissait sans couronne. La durée du règne de ces rois était marquée par les différences de la durée de leurs apparitions. Par le nombre de leurs dauphins on parvenait distinctement à celui qui désignait Louis XV.

C'est du vivant de ce monarque que M. de Nivernois m'a parlé de cette pièce curieuse, et il m'a dit alors qu'elle finissait de la manière suivante, qu'après Louis XV il ne s'est plus montré qu'un seul roi; et Catherine, interrogée par l'astrologue, sur ce qu'elle voyait encore, elle répondit: je ne vois plus rien qu'un tas de rats et de souris qui s'entre-dévorent. Comme on venait de s'apercevoir que les fondements de Versailles étaient minés par ces animaux, nous appliquions alors cette image prophétique à la possibilité que ce grand château pourrait bien s'écrouler sous le règne prochain. — Baron de Gleichen, Souvenirs, éd. 1868.

Confluent de sang

Une ancienne prophétie qui existait à Lyon disait, que le sang coulerait dans les rues, quand le Rhône et la Saône se trouveraient réunis dans l´hôtel de ville. Or, ce bâtiment est si élevé au-dessus du lit de ces fleuves qu´il aurait fallu une inondation presque incroyable pour les faire arriver jusque-là.

Cette prophétie s´est pourtant accomplie en 1793 d´une manière assez singulière. Lorsque le peuple abattit la statue de Louis XIV à la place de Belcour, on porta les figures en bronze de ces deux fleuves, qui étaient placées aux deux côtés de la statue, à la maison de ville, et, peu de jours après, les rues furent inondées de sang, par le premier massacre que firent les jacobins. — Baron de Gleichen, Souvenirs, éd. 1868.

Comte de Saint-Germain

Un personnage singulier

◊ Je l'ai suivi pendant six mois avec l'assiduité la plus soumise, et il ne m'a rien appris, sinon à connaître la marche et la singularité de la charlatanerie. Jamais homme de sa sorte n'a eu ce talent d'exciter la curiosité et de manier la crédulité de ceux qui l'écoutaient. Il savait doser le merveilleux de ses récits, suivant la réceptibilité de son auditeur. Quand il racontait à une bête un fait du temps de Charles Quint, il lui confiait tout crûment qu'il y avait assisté, et quand il parlait à quelqu'un de moins crédule, il se contentait de peindre les plus petites circonstances, les mines et les gestes des interlocuteurs, jusqu'à la chambre et la place qu'ils occupaient, avec un détail et une vivacité qui faisaient l'impression d'entendre un homme qui y avait réellement été présent. Quelquefois, en rendant un discours de François Ier, ou de Henri VIII, il contrefaisait la distraction et disant: «Le roi se tourna vers moi».... il avalait promptement le moi et continuait avec la précipitation d'un homme qui s'est oublié, «vers le duc un tel.»

Il savait, en général, l'histoire minutieusement, et s'était composé des tableaux et des scènes si naturellement représentés, que jamais témoin oculaire n'a parlé d'une aventure récente, comme lui de celles des siècles passés.

Mystification

De mauvais plaisants menèrent dans le Marais sous le nom de M. de Saint-Germain, un acteur nommé Gower, pour satisfaire la curiosité des dames et des badauds de ce canton de Paris, plus aisé à tromper que le quartier du Palais-Royal; ce fut sur ce théâtre que notre faux adepte se permit de jouer son rôle, d'abord avec un peu de charge, mais, voyant qu'on recevait tout avec admiration, il remonta de siècle en siècle jusqu'à Jésus-Christ, dont il parlait avec une familiarité si grande, comme s'il avait été son ami. «Je l'ai connu intimement, disait-il, c'était le meilleur homme du monde, mais romanesque et inconsidéré; je lui ai souvent prédit qu'il finirait mal.» Ensuite, notre acteur s'étendait sur les services qu'il avait cherché à lui rendre par l'intercession de madame Pilate, dont il fréquentait la maison journellement. Il disait avoir connu particulièrement la sainte Vierge, sainte Élisabeth, et même sainte Anne sa vieille mère. «Pour celle-ci, ajoutait-il, je lui ai rendu un grand service après sa mort. Sans moi, elle n'aurait jamais été canonisée. Pour son bonheur, je me suis trouvé au concile de Nicée, et comme je connaissais beaucoup plusieurs des évêques qui le composaient, je les ai tant priés, leur ai tant répété que c'était une si bonne femme, que cela leur coûterait si peu d'en faire une sainte, que son brevet lui fut expédié.» 

C'est cette facétie si absurde et répétée à Paris assez sérieusement, qui a valu à M. de Saint-Germain le renom de posséder une médecine qui rajeunissait et rendait immortel; ce qui fit composer le conte bouffon de la vieille femme de chambre d'une dame, qui avait caché une fiole pleine de cette liqueur divine: la vieille soubrette la déterra et en avala tant, qu'à force de boire et de rajeunir, elle redevint petit enfant.

Jouvence mystérieuse

Quoique toutes ces fables, et plusieurs anecdotes débitées sur l'âge de M. de Saint-Germain, ne méritent ni la croyance ni l'attention des gens sensés, il est pourtant vrai que le recueil de ce que des personnes dignes de foi m'ont attesté sur la longue durée et la conservation presque incroyable de sa figure, a quelque chose de merveilleux. J'ai entendu Rameau et une vieille parente d'un ambassadeur de France à Venise, assurer y avoir connu M. de Saint-Germain en 1710, ayant l'air d'un homme de cinquante ans. En 1759, il paraissait  en avoir soixante, et alors M. Morin, depuis mon secrétaire d'ambassade, de la véracité duquel je puis répondre, renouvelant chez moi sa connaissance faite en 1735 dans un voyage en Hollande, s'est prodigieusement émerveillé de ne le pas trouver vieilli d'une année. Toutes les personnes qui l'ont connu depuis, jusqu'à sa mort, arrivée à Schleswig en 1780, si je ne me trompe, et que j'ai questionnées sur les apparences de son âge, m'ont toujours répondu qu'il avait eu l'air d'un sexagénaire bien conservé.

« Ces bêtes de Parisiens, me dit-il un jour, croient que j'ai cinq cents ans, et je les confirme dans cette idée, puisque je vois que cela leur fait tant de plaisir ; ce n'est pas que je ne sois infiniment plus vieux que je ne parais » — car il souhaitait pourtant que je fusse sa dupe jusqu'à un certain point.

Sa mort en Allemagne ; le mystère reste entier.

Cet homme extraordinaire est mort près de Schleswig, chez le prince Charles de Hesse, qu'il avait entièrement subjugué, et engagé dans des spéculations qui ont mal réussi. Durant la dernière année de sa vie, il ne se faisait servir que par des femmes, qui le soignaient et le dorlotaient comme un autre Salomon, et après avoir perdu insensiblement ses forces, il s'est éteint entre leurs bras.

Toutes les peines que les amis, les domestiques et même les frères de ce prince, se sont données pour arracher de lui le secret de l'origine de M. de Saint-Germain, ont été inutiles; mais ayant hérité de tous ses papiers et reçu les lettres arrivées depuis au défunt, le prince doit être mieux instruit sur ce chapitre que nous, qui vraisemblablement n'en apprendrons jamais davantage, et une obscurité si singulière est digne du personnage.   Baron Charles-Henri de Gleichen, Souvenirs suivis de La science maçonnique, éd. 1868.

­ Source : Baron de Gleichen (Nemersdorf, 1735 – Ratisbonne, 5 avril 1807)

<> 09/10/2023

Galerie - 6

  Pavol Breslik (d.) et Amir Katz Winterreise Berlin Philharmonie : Liederabend 4 Février 2018. © Markus Gögelein <> 09/11/2024